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Cancérisation par les OGM

Réduction de la population mondiale ... par les OGM! 
ou: 
La cancérisation de la chaîne alimentaire 
 
Les illuminatis ont le désir d’éliminer le maximum de gens, surtout les enfants, de manière quasi invisible... Les chiffres avancés sont effrayants... Il faut être stupide pour croire que le hasard peut expliquer la progression exponentielle des cancers, maintenant et dans les années à venir… 
Les illuminatis ont, en perspective, la réduction de la population mondiale et le contrôle de tous les peuples de la Terre! 
 
Les Américains voudraient bien que les Européens mangent davantage leurs O.G.M... 
 
oui, mais: 
 
Comment contraindre les Européens à consommer des OGM tueurs…, via la viande et les produits laitiers? 
 
Il y a cinquante ans, le maïs était, dans l’agriculture européenne, quantité négligeable. Le bétail était essentiellement nourri à partir d’une alimentation herbagère et céréalière. Curieusement, pour le bétail, nous sommes devenus, en quelques années, dépendants, à quasiment cent pour cent du maïs! Hormis l’agriculture biologique, presque tout le cheptel est maintenant nourri à l’ensilage de maïs
 
À une agriculture saine, indépendante et qualitative l'on substitue une agriculture chimique, dépendante et de mauvaise qualité. 
 
La première plante transgénique a été obtenue en 1983. À l’époque, le monde industriel n'a développé que deux types de plantes OGM dans l'environnement. Elles occupent plus de 99 pour cent des surfaces cultivées en OGM commercialisés. Les industriels prévoyaient d'atteindre dès 1996 50 pour cent d'OGM en Europe; c'est, jusqu'ici, un cuisant échec. Globalement, l’Europe ne veut pas {encore} des OGM américains! 
Seulement 0,02 pour cent de ses surfaces agricoles y sont semées en OGM, à l'opposé du continent américain, qui produit 94 pour cent des OGM, soit 5 pour cent de l'agriculture mondiale… 
 
Comment contraindre les Européens à accepter les OGM? 
 
Que feriez-vous si vous vouliez imposer les OGM en Europe? Que feriez-vous, sachant que les populations mangent de la viande et boivent du lait issu d’un bétail désormais dépendant du maïs? Comment contraindriez-vous ces populations à consommer des Organismes Génétiquement Modifiés, lorsque vous savez avec certitude (alors que la communauté scientifique s’interroge) que c’est, pour le moins, un grave poison pour la santé? 
Soumettre l'Europe aux OGM est d’autant plus important pour leur plan que cette Europe sert de modèle pour l'étiquetage, la traçabilité, et l'évaluation des OGM dans le monde, pour près de cent cinquante pays! 
 
La réponse a peut-être été donnée par le journal hebdomadaire «Le Canard enchaîné»… 
 
L’information suivante a été publiée, à la mi-Avril 2005, par Le Canard Enchaîné
 
«Dans un livre récent «Ces OGM qui changent le monde», publié chez Flammarion, Séralini signale l’étrange invasion en Europe d’un terrible ravageur du maïs, le diabrotica virgifera. Originaire du continent Nord américain, il est potentiellement si dévastateur pour l’agriculture française qu’il est même interdit dans les laboratoires! 
 
Or il se répand à une vitesse qui surprend tous les spécialistes. Détail: Monsanto commercialise, puis des revendeurs testent depuis 1999 des maïs transgéniques spécifiquement résistants au Diabrotica virgifera. Un reportage du magazine télé 90 minutes, sur Canal , a évoqué une possible implication de l’armée américaine dans cette ténébreuse affaire. De toute manière, rien ne vaudra la recherche militaire. On ne sait ce qui se fabrique dans les labos de l’armée, mais tous travaillent sur des OGM, ici comme là-bas. Preuve indirecte imparable: en 1999, le gouvernement fédéral américain a débloqué 160 millions de dollars pour la «biodéfense», c’est-à-dire la lutte contre les fléaux génétiques. Pour faire des OGM tranquillement, sans être obligé de passer devant les imbéciles commissions civiles, une seule solution garantie: l’estampille «secret-défense». (Signé: Professeur Canardeau)». 
 
En fait, depuis 1992, l’insecte diabrotica virgifera n'a cessé de progresser sur le Vieux Continent. Nous en serions déjà au stade où l'on ne pourrait déjà plus l'éradiquer… 
Cet insecte (une chrysomèle), après s'être attaqué aux cucurbitacées, s'est peu à peu transformé en ravageur du maïs dans la Corn Belt Nord-américaine. La lutte contre ce nuisible et les pertes de rendement qu'il occasionne (jusqu'à 80 pour cent dans certaines parcelles) coûtent entre 650 millions et un milliard de dollars par année. 
 
Cet insecte a, pour la première fois, été repéré aux abords de l'aéroport de Belgrade en 1992, près d'un hangar où étaient nettoyés des avions de chasse américains? Sa progression a depuis été inexorable: Hongrie et Croatie en 1995, Roumanie en 1996, Bosnie en 1997, Bulgarie, Monténégro et Italie en 1998, Slovaquie et Suisse en 2000, Ukraine en 2001, Autriche en août 2002. C'est à cette même date que les premières chrysomèles ont été repérées en France, autour des aéroports de Roissy, d'Orly et du Bourget. Depuis lors, des mesures d'éradication ont été décidées. Mais la mobilisation arrive bien tard… 
 
Curieusement, la diabrotica virgifera emprunte les moyens de transport – elle a aussi été repérée aux abords d'aéroports en Italie et en Suisse –, ce qui lui permet de faire d’importants sauts géographiques, ce dont certains s'étonnent. De toutes façons, elle progresse naturellement sur des fronts de 20 à 40 km par an. 
 
«En 2004, il a progressé dans les pays de l'Est, de 40 km dans toutes les directions», confirme Philippe Reynaud, responsable de la lutte contre diabrotica au service de la protection des végétaux. 
 
Alors que la lutte tente de s’organiser, les patrons de la multinationale MONSANTO et PIONEER signalent développer des maïs transgéniques sur lesquels a été greffé un insecticide tiré de Bacillus thuringiensis qui les rend résistants à la diabrotica! Aux États-Unis, un dossier d'autorisation de commercialisation du maïs MON 863 est en cours. 
 
En France, Monsanto avait cité la diabrotica lors d'une demande d'essai adressée à la commission du génie biomoléculaire en 1999, de même que Pioneer, qui a procédé à des essais dans plusieurs communes de Charente et de Haute-Garonne en 2000 et 2001… 
Il existe donc déjà un maïs génétiquement modifié, le YieldGard Rootworm, distribué par la firme Monsanto, à l'essai aux États-Unis: c'est une variante du maïs Bt, mais qui produit une protéine toxique pour les larves de diabrotica. 
 
Pour le CRIIGEN, une association de lutte contre les OGM présidée par Corinne Lepage, cette rapidité de réaction des grandes firmes internationales est suspecte. C’est le moins que l’on puisse dire! Le président de son conseil scientifique, Gilles-Eric Séralini, s'était déjà interrogé dans son livre OGM, le vrai débat (Flammarion, 2000) sur la coïncidence entre l'arrivée de la diabrotica dans les bagages d'une armée en campagne et la proposition de solutions OGM pour contrer le ravageur. 
 
Et de dénoncer «une politique qui consisterait à introduire les OGM par une sorte de chantage écologique dont il faudrait enquêter sur les origines». Il évoque, mais sans les produire, des éléments susceptibles de fonder ses soupçons. (Source : «Le Monde») 
 
Comment ne pas mettre en évidence le fait que ce curieux insecte soit si habile à prendre l’avion qu’il arrive à provoquer les ravages espérés par les donneurs d’ordre des actionnaires de Monsanto? 
Les réseaux de surveillance européens ont, dès l'origine, concentré leurs efforts de vigilance sur les aéroports. Après celui de Belgrade, où il a fait sa première apparition comme on l’a vu, c'est autour des aéroports que l'insecte a été détecté, aussi bien en Suisse qu'en Italie, et désormais en France. 
 
Aux États-Unis, en revanche, sa progression (jusqu'à 140 km par an) s'est faite de proche en proche sans qu'un exemple de transport par avion ait pu être observé. Pourquoi cette différence de dispersion? 
 
En Août 2002 le Laboratoire National de la Protection des Végétaux (LNPV) de l'INRA (à Montpellier) a révélé que la chrysomèle du maïs avait été repérée en Ile-de-France autour des aéroports d'Orly, Roissy et du Bourget: un drame pour la France qui est le premier producteur de maïs dans l'Union européenne. (Source: Futura-Sciences)  
 
Monsanto: le "sauveur" du cheptel planétaire!?! 
 
Les conséquences produites par cet insecte sont donc énormes. Un chiffre suffira à le montrer: il occasionne plus d'un milliard de dollars de pertes par an! À l'heure des polémiques sur les OGM, la lutte biologique, quant à elle, n'est pas encore d'actualité. Qui peut raisonnablement croire que Monsanto ne sera pas utilisé pour… réaliser le plan de cancérisation de la chaîne alimentaire? Car derrière les intérêts financiers et la satisfaction des actionnaires de Monsanto il y a, bien évidemment, autre chose… 
 
Les dangers des OGM: «Des empoisonneurs à long terme...» 
 
Si le vecteur OGM (organisme génétiquement modifié) est utilisé par les stratèges illuminatis pour qu’il soit consommé par une population qu’ils souhaitent réduire de plus de 90 pour cent, il faut bien évidemment conclure que ces gens ont des certitudes sur sa nocivité. 
Cela explique pourquoi personne n’obtiendra la levée du secret industriel sur les études d’impact sanitaire des OGM. En outre, si les pays pauvres à forte densité démographique manquent de médicaments c’est parce que ce sont des produits brevetés. Alors, si l'on fait de même avec des semences high-tech, les OGM pourront être un vecteur de famine supplémentaire dans le monde… Et cela peut aller au delà de l’Afrique si l’on tient déjà compte des conséquences du projet HAARP sur l’Europe. 
 
Gilles-Eric Séralini (Professeur de biologie moléculaire à Caen) est l’un des rares spécialistes des OGM en France à n’avoir pas été financé ou promu à un moment ou à un autre par les producteurs de pesticides et cie… Ce qu’il dit doit donc être impartial. 
 
Voici ce que dit encore le même Gilles-Eric Séralini: 
 
«On a prouvé qu'il existe des risques potentiels des OGM… Plusieurs nouveaux tests de nutrition de rats, avec des OGM pendant 90 jours, ont montré des différences significatives par rapport à un groupe comparable de rats nourris sans OGM. 
Ces tests sont commandités par les firmes elles-mêmes qui n'admettent ces résultats cependant que confidentiellement, et ne veulent pas les rendre publics dans leur intégralité… 
Il y a deux types de risques sanitaires: ceux qui sont liés à la technique de transgenèse elle-même, pouvant avoir des effets inattendus, et ceux liés au caractère que l'on veut transmettre à l'OGM, tolérer ou produire des pesticides, par exemple pour les principaux OGM commercialisés et cultivés dans l'environnement.» 
 
Pourquoi les «instruments» choisis pour la cancérisation de la population par les illuminatis, comme Monsanto, refusent-ils des «tests sur la nocivité des OGM»? 
 
Que dire, en effet, des risques sur la santé du maïs 863 de Monsanto? Voici la réponse de Gilles-Eric Séralini, également expert auprès de la Commission européenne: 
 
«Ces risques doivent être pris avec le plus grand sérieux et ces résultats ne m'étonnent pas. Ce sont les seuls tests pertinents dont nous disposons pour mesurer la toxicité des OGM sur les mammifères. Mais, d'une durée de trois mois, cela demeure très court pour mesurer l'impact des OGM sur la santé, alors que ces produits seront ingérés pendant des années et se retrouvent parfois dans des aliments pour bébés. Cela fait d'ailleurs des années que je me bats pour que ces tests soient systématiquement imposés, ce qui n'est pas encore le cas... […] Quand il y a des anomalies importantes comme celles constatées dans le cadre du maïs «Mon 863», il faut recommencer l'expérience et la mener plus loin, quitte à interdire la mise sur le marché. Le tout est de voir où l'Europe veut placer la barre de l'exigence dans des contrôles très coûteux. Les impératifs de santé seront-ils prioritaires par rapport aux lobbies? 
 
[Il existe des preuves tangibles que les OGM sont néfastes pour la santé.] 
 
Des effets sur la santé ont été mesurés chez des rats après trois mois de consommation d'OGM en voie de commercialisation en Europe. Il s'agissait d'augmentation du taux de sucre sanguin, dans le cas d'un OGM précis, d'anomalie dans les taux de globules blancs et de globules rouges, de lésions rénales...» 
 
 
Qui cherche à développer l'utilisation des OGM? 
 
Toujours de Gilles Eric Séralini: 
 
«Les acteurs sont des industriels qui commercialisent et développent ces OGM, en apportant les moyens du lobbying, mais ces moyens sont relayés par des politiques ou des scientifiques. 
Le débat et la contradiction traversent tous les partis politiques, ou les ont traversés; même la Confédération paysanne a eu des débats contradictoires, en 1996, avec des scientifiques avant de prendre parti.» 
 
«La volonté politique de l'Europe est de développer une agriculture durable, qui devrait plus passer par l'agriculture biologique que par les OGM actuels. Tout dépend donc des volontés politiques à venir.» 
 
Cela ne nous conduit-il pas à clairement reconnaître ces sinistres individus pratiquant ce que Günther Schwab appelle «La cuisine du diable»?

 

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Modifié en dernier lieu le 30.09.2005
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